
Les scandales sur la gestion de l’épidémie de COVID-19 sortent en cascade https://blogs.mediapart.fr/michele-rivasi/blog/120221/covid-19-les-medias-victimes-dune-desinformation-detat
Une enquête du journal Die Welt vient de révéler comment le Ministre de l’intérieur allemand a utilisé dans sa communication sur le Covid des messages et des chiffres alarmistes afin de faire peur et de fabriquer le consentement aux mesures de confinement. https://www.welt.de/politik/deutschland/plus225868061/Corona-Politik-Wie-das-Innenministerium-Wissenschaftler-einspannte.html
L’enquête de Die Welt, peu relayée en France, fait scandale en Allemagne, tandis qu’en Belgique, un documentaire crée la polémique : « Ceci n’est pas un complot » du journaliste Bernard Crutzen, qui décrypte comment les médias racontent le Covid.
https://vimeo.com/504845318

On y trouve un extrait édifiant qui illustre la capacité des journalistes à se faire aveugler et instrumentaliser par des « experts » et des arguments émotionnels, utilisés à d’autres fins que l’intérêt général et l’honnête information des populations.

Les universités et les scientifiques allemands contactés par le Ministre de l’intérieur ont coopéré pour imaginer les "pires scénarios".
En 4 jours, les grandes lignes étaient formulées, alimentant un rapport classé confidentiel dans un 1er temps, puis partagé avec la presse.
En 4 jours, les grandes lignes étaient formulées, alimentant un rapport classé confidentiel dans un 1er temps, puis partagé avec la presse.
Les 200 échanges d'e-mails analysés par Die Welt témoignent de l’inventivité des chercheurs : Jouer avec les taux de mortalité, utiliser des images de personnes mourant d’étouffement...
L’objectif ? Engendrer la peur et la docilité au sein de la population.
L’objectif ? Engendrer la peur et la docilité au sein de la population.
"Le fort sentiment d’impuissance doit être contenu. Cela peut se faire en propageant l’impression d’une forte intervention de l’État", explique l’un des e-mails. Il fallait donc présenter les chiffres "les moins favorables". https://fr.businessam.be/le-gouvernement-allemand-a-enrole-des-scientifiques-pour-semer-la-peur-du-coronavirus/
Alors que l’Institut Robert Koch déclaraient que 0,56% des personnes infectées mourraient, l’Institut Leibniz pour la recherche économique (RWI) a suggéré de doubler ce chiffre. Les deux pourcentages ont été finalement retenus dans le rapport final, publié en avril 2020.
« Si le gouvernement n’agit pas, le nombre de morts pourrait s’élever à plusieurs millions » n’a cessé de répéter le ministre Horst Seehofer en mars et en avril. https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/le-gouvernement-allemand-a-enrôlé-des-scientifiques-pour-semer-la-peur-du-coronavirus/ar-BB1dypGv?ocid=st
En France, plusieurs livres, notamment ceux du Pr. Christian Peronne, de l’anthropologue Jean-Dominique Michel, du sociologue Laurent Mucchielli, la philosophe Barbara Stiegler recensent les manquements, les incohérences et les manipulations du pouvoir politico-médiatique. https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1354458731661176832
Une peur politiquement voulue, orchestrée et soufflée aux oreilles des médias qui en sont devenus alors les relais complices. Cette volonté de faire peur visait-elle à nous faire accepter des mesures autoritaires, comme le scandale allemand actuel nous l’enseigne ? https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1356418153312624640
De nombreux collectifs d’avocats, notamment la ligue des droits de l’homme en France, dénoncent les mesures liberticides prises au nom de l’urgence sanitaire.
Des associations dénoncent les triages eugenistes et la politique publique de l’aide à mourir à base de Rivotril. https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1361011806521720838
Des associations dénoncent les triages eugenistes et la politique publique de l’aide à mourir à base de Rivotril. https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1361011806521720838
C’est en sortant des mensonges d’état, naïvement colportés et répétés à longueur de journées, par les médias et les chaines d’information en continu que nous pourrons nous désintoxiquer de cette peur et remettre à leur place les marchands de peur.
Car c’est la prise en soins, non le virus lui même, qui est le principal prédicteur de mortalité. Ce qui nous renvoie incontournablement et à nouveau à la péjoration des capacités hospitalières, particulièrement en soins intensifs, au cours des deux décennies écoulées.
Les abandons massifs de soins en 2020 ont été le fait d’un affaiblissement généralisé du système de santé publique : quand on ne soigne pas les gens, ils ont tendance à mourir.
Pour mesurer la violence relative du COVID-19 en tant que pathogène, il conviendrait donc de corriger la surmortalité en lui soustrayant le nombre de personnes décédés d’abandon de soins et non pas de la COVID-19.
Quand on terrorise les gens, quand on leur refuse des soins basiques, quand on les tue au Rivotril parce qu’ils ont été refusé à l’hôpital, forcément, ils guérissent beaucoup moins bien.
En appliquant les profils de mortalité des années précédentes à la population de 2020, on découvre que la COVID-19 a une gravité de l’ordre des grippes de 2016 et 2017.
Le COVID-19 et ses dérivés constituent des maladies de saison dans la norme. Le véritable fléau est organisationnel : l’hôpital public est démantelé depuis des années. En 2020, le système a lâché. https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2021/02/10/covid-du-mythe-aux-statistiques-les-verites-cachees-312823.html?fbclid=IwAR1rr1Dc-vAnivMNShyfOSVccEMulmx6izuKUah8SDr39h9MAZtPEEP7I2o
Pire, d’un point de vue purement épidémiologique, le confinement est inutile. Mais d’un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets, cyniques et manipulateurs. https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1355978044729679878
Les techniques efficaces pour contrôler les maladies infectieuses sont toutes fondées sur la séparation des personnes saines et des malades. Le but est de diluer le virus et non pas de le concentrer, ce que font les méthodes agrégatives que sont le confinement et le couvre-feu.
Le confinement concentre spatialement les personnes dans leur domicile et le couvre-feu concentre temporellement l’activité dans des tranches horaires rigides. Dans les deux cas, ces démarches concentrent le virus en plaçant les populations dans des situations de promiscuité.
Elles répondent à un désir de contrôle politique des populations en soumettant les activités individuelles à l’autorité de l’État ; mais elles n’ont ni a priori, ni a posteriori un quelconque rapport avec la médecine. Sans parler des cancers non diagnostiqués https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1357399766699831296
Il faut maintenant retrouver nos esprits. Sortir de la peur paralysante et de la stratégie de l’émotion s’avèrent maintenant des impératifs démocratiques si l’on veut être capable de prendre des décisions rationnelles et raisonnables. Les décisions les plus justes.