🔻 #Thread Libérer la médecine des charlatans

« À votre avis, honnêtement, est-ce que j’ai eu une attitude criminelle de traiter mes patients de la sorte, comme vous le dites dans tous les journaux ? »

Gérard Maudrux 👉🏻 …https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2021/02/07/livermectine-au-soleil/
@lemondefr qualifie de ‘criminels’ les médecins qui soignent avec des molécules qu’ils connaissent bien..

..tout en validant des non-médecins qui suppriment des lits d’HP et prescrivent l’isolement, le doliprane et des substances contestées, normalement illégales, à base d’OGM. https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1358542000144973825
« Je viens d’avoir, cet après-midi, des nouvelles d’un confrère généraliste devenu ami. Il y a 3 semaines, il m’appelle devant des signes de Covid. Je lui fais acheter de l’Ivermectine et de l’Azithromycine, qu’il prend le lendemain après un test positif.
Candidat à une mort quasi certaine (80 ans, 118 kg, diabétique, quasi grabataire,…) il est hospitalisé au HUG par ses enfants 3 jours plus tard car très fatigué, il en ressort rapidement sans autre traitement.
Par contre sa femme, plus jeune, à qui il a refilé le Covid, passe directement à l’hôpital sans avoir pu avoir d’Ivermectine. Toujours en réanimation, elle sort ce jour de 15 jours de coma... »
Au delà de cette anecdote, les études qui mettent en évidence l’efficacité de l’Ivermectine ou du protocole Ivermectine/Azithromycine contre le COVID-19 sont de plus en plus nombreuses chaque jour. https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1346970194309046272
L’année dernière, la République Dominicaine traitait les patients admis dans ses hôpitaux avec l’hydroxychloroquine, mais le pays est tombé en rupture de stock la troisième semaine d’avril 2020.
Ayant lu que l’Ivermectine pouvait être avantageusement utilisée dans la Covid dans l’étude australienne in vitro, et alors que la France conseillait le Doliprane, le Comité d’éthique de la République dominicaine décide d’organiser une étude sur l’ivermectine.
L’étude s’étalait du 1er mai au 10 aout 2020 : tous les patients se présentant aux urgences pour Covid durant ce laps de temps, soit 3.099 patients au total (détail de l’étude dans l’article), ont été traité avec l’ivermectine.
L’etude montre au final que l’ivermectine évite l’hospitalisation dans l’immense majorité des cas, et ramène la mortalité à 1 cas sur 2.700 (divisée par 50).

Chez les cas plus tardifs devant être hospitalisés, la mortalité est divisée par 10.
Enfin, chez les patients à un stade très avancé de la maladie, et déjà placés en réanimation, peu ou pas d’effets.
Les auteurs décrivent l’action des différentes molécules utilisés.

L’ivermectine :

1) bloque les importines empêchant par là l’entrée du virus dans les noyaux pour se reproduire,
3) empêche la liaison de la protéine SARS-COV-2 S, avec le récepteur ACE2 et avec le récepteur transmembranaire CD147, cette liaison est essentielle pour que le virus pénètre dans les cellules au moment de sa réplication,
4) se lie à la protéase 3CL et à la protéine HR2, bloquant la réplication virale.

L’Azithromycine a elle un effet anti-inflammatoire, immunomodulateur, et peut-être antiviral (du moins in vitro, les auteurs étant prudents sur ce point).
En France ceux qui traitent ainsi les malades du Covid sont qualifiés de criminels dans les médias et sont menacés de sanctions par le Conseil de l’Ordre.

Et pendant ce temps, les services de réa se remplissent, alors que des lits d’hôpitaux sont supprimés et que l’HP agonise.
Nathan Peiffer-Smadja, qui se présente comme chef de clinique en infectiologie à l’hôpital Bichat, qualifie des milliers de médecins de criminels sous prétexte qu’ils exercent leur liberté de prescrire

Il fut largement repris et approuvé par la presse, notamment Le Monde et Libé
Qu’aurait fait Peiffer-Smadja si on lui avait confié l’étude ?

Il aurait fait ce que tout bon lobbyiste qui s’ignore aurait fait : pour obtenir X patients traités en ambulatoire, il aurait sélectionné X autres malades tirés au sort, à qui il aurait donné un placebo.
Le résultat de la stratégie de Peiffer Smadja ? 50 morts et des urgences encombrées devant être soulagées par un confinement dont l’efficacité n’est pas démontrée.

Des malades sacrifiés sur l’autel de la Evidence Based Medecine dans l’espoir de calmer un jour la colère du Covid. https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1356094413957693443
Et pour que les exécutants n’aient pas de problème de conscience, ils ont inventé le top des études : « la randomisation en double aveugle » : le patient ne sait pas ce qu’il prend, et le médecin ne sait pas ce qu’il donne.
Comme pour les pelotons d’exécutions où on met une balle mortelle dans un fusil, et des balles à blanc (placebos) dans les autres, afin de soulager la conscience des tireurs.
L’excuse officielle, c’est afin que le médecin n’influence pas le subconscient du patient, comme s’il allait lui dire qu’il lui donnait un placebo !

De plus, beaucoup d’études randomisées sont faibles, d’autres même arrêtées, fautes de patients.
Les patients n’étant pas ficelés à un poteau, ils refusent d’être tirés au sort pour du placebo car ils viennent pour se faire soigner, pas pour un placebo.

Par contre le lobby pharma en profite pour vendre à prix d’or ses vaccins avant même la fin des essais cliniques... https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1358541928057475076
Les médecins d’aujourd’hui ont le choix entre le serment d’Hippocrate et le serment d’Hipocrite, celui qui vous pousse vers un scientisme absurde tendant vers l’inhumain, en quête de renommée, d’opportunités de carrière, de pouvoir, d’argent que sais-je encore https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1356094362422304769
La Covid aura au moins permis de mettre à plat ces pratiques médicales non éthiques, souvent criminelles, en espérant une remise en question par leurs défenseurs acquis aux méthodes de l’industrie pharmaceutique, à moins qu’ils ne soient atteints par le syndrome de Dunning-Kruger
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