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Comment les médias ont-ils parlé des effets secondaires du vaccin ?
Je vous propose en infographie une revue de presse entre le 1er et 20 janvier. Pour ceux qui veulent en savoir plus, je joins quelques tweets explicatifs :
Je vous propose en infographie une revue de presse entre le 1er et 20 janvier. Pour ceux qui veulent en savoir plus, je joins quelques tweets explicatifs :
Pourquoi se focaliser sur les titres déjà ? 
L'idée, c'est que nous voyons beaucoup d'articles de presse sur nos réseaux sociaux, mais en pratique, nous n'avons que très rarement le temps de les lire, et finalement, c'est tout ce qu'on en retient... [suite]
L'idée, c'est que nous voyons beaucoup d'articles de presse sur nos réseaux sociaux, mais en pratique, nous n'avons que très rarement le temps de les lire, et finalement, c'est tout ce qu'on en retient... [suite]
Pourtant, un même article avec les même informations et arguments, peut être présenté de façons très différents :
• "enquête après le décès de treize personnes qui ont reçu le vaccin"
• "pas de lien établi entre le vaccin et des décès"
(exemples réels donc) [suite]
• "enquête après le décès de treize personnes qui ont reçu le vaccin"
• "pas de lien établi entre le vaccin et des décès"
(exemples réels donc) [suite]
Nous avons donc recensé les 95 titres de presse parus entre le 5 et le 20 janvier qui portaient sur les effets secondaires du vaccin contre le Sars-Cov-2 :
61% étaient plus ou moins anxiogènes !
Seuls 26% des titres ont été rassurants.
61% étaient plus ou moins anxiogènes ! Seuls 26% des titres ont été rassurants.
Et pourtant, si nous lisons ces articles, on constate que :
85% insistent sur l'absence de lien entre décès et vaccin.
10% mettent davantage en avant les décès que la parole scientifique
av 0% est fortement anxiogène.
85% insistent sur l'absence de lien entre décès et vaccin. 10% mettent davantage en avant les décès que la parole scientifiqueav 0% est fortement anxiogène.
C'est ce que je trouve fascinant ici : parce qu'au final, même en se basant sur des articles globalement de qualité, bien sourcés et nuancés, il est possible de subir une désinformation...
Et il ne s'agît pas de complots, ni d'incompétence des journalistes... [suite]
Et il ne s'agît pas de complots, ni d'incompétence des journalistes... [suite]
...mais d'un simple choix éditorial, celui d'un titre vendeur quitte à ce qu'il soit trompeur.
Si cette réflexion vous interroge aussi, n'hésitez pas à en discuter autour de vous. Ce n'est peut-être pas grand chose [suite]
Si cette réflexion vous interroge aussi, n'hésitez pas à en discuter autour de vous. Ce n'est peut-être pas grand chose [suite]
mais réfléchir sur notre façon de consommer l'information ne fait jamais de mal 
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Pour la méthodologie et les sources un peu plus détaillée, je vous renvoie sur Facebook qui permet d'écrire plus librement : https://www.facebook.com/chevrepensante.fr/posts/1278763499161991?__cft__[0]=AZXcb4rhGBtfRMq4Oy8B4yh3t54wjlU8D2lZI7cMMo9X4s2f8oPb4Hbg3ZTpaPMrZ6_eYZxScLH3MitNWjyh5rSMhp7xKKHwnEjHTsUpr6sqUB1WSRfSO61zhLu1FCMav8lHhdwG4Ik7C-BvVjgIjo2ARGK0r-qCvwW8E3tCBfnT7ZRiKQ0qvM5Or69PwfuSptk&__tn__=%2CO%2CP-R
Et voici la liste des articles : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1qv0wMFKpexw2jsKhdx-BtfFK3GATqHFibysolv3mdCE/edit?usp=sharing
