𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗹'𝗶𝗺𝗺𝗶𝗴𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗺𝗮𝘀𝘀𝗶𝘃𝗲 𝗻'𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝘂𝗻𝗲 𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗶𝗱𝗲́𝗲 𝘀𝗲𝗹𝗼𝗻 𝗹𝗮 𝗽𝘀𝘆𝗰𝗵𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 ?

Reprenons, avec toutes les sources, études et travaux indispensables pour comprendre.
Attention, c'est un long #FIL.
En préambule, rappelons ce qu'est la psychologie sociale selon Wikipédia.

Très clairement, l'immigration massive, comme phénomène de foule, peut être analysée sous cet angle.
Je pars de l'exemple simple d'un immigré qui arrive dans une société qui ne connaît pas sa culture.

Partez du principe tout au long de ce fil, que les flux ne sont jamais coupés, que la communauté étrangère s'accroît régulièrement.
Le fil est divisé en phénomènes, réactions diverses qui essayent chacune de saisir un enjeu distinct de la problématique.
Chacun est numéroté.

Commençons donc.
1. La distinction
Que se passe-t-il quand un immigré arrive sur un territoire ?
Une fois dans un pays, l'immigré sait qu'il est différent des autochtones.
Il n'a pas les codes, la culture, la langue. 
Il est différent, le sait et le sent dans chaque interaction.
La théorie de la distinction optimale démontre qu'il est renvoyé à cette différence en permanence, que cette différence devient un élément essentiel, une partie primordiale de son être.

Brewer a travaillé sur ce sujet. https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_de_la_distinction_optimale
Il y a un équilibre psychique intérieur délicat à trouver entre la conformité à son environnement mais aussi sa fidélité à ses racines, il cherche à conserver ces deux parts de lui-même. En fonction des situations, c'est l'une ou l'autre de ces parts qui est sollicitée.
Un asiatique médecin parmi des médecins blancs se sentira asiatique, un asiatique médecin parmi des asiatiques se sentira médecin.

Cette identité, différentielle, donc, devient de moins en moins forte et disparaît avec le temps long, si elle est isolée et reformatée.
Raison pour laquelle l'assimilation peut fonctionner avec des petits quantités d'impétrants.
Or, les différences sont perceptibles très rapidement.
Par exemple, TROIS mois après leur naissance, les bébés font la différence entre couleurs de peau.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2566511/
Je vous renvoie aussi à cette page.
On constate que le constat de la différence et la préférence pour ce qui nous ressemble arrive très, très tôt. https://mindblog.dericbownds.net/2020/09/all-of-us-are-racists-in-our-early.html
Problème, quand la couleur de peau est en jeu, il faut plusieurs générations pour la faire disparaître, ça n'est pas rapide (et l'exemple de BLM aux Etats Unis démontre que l'on peut douter qu'elle disparaisse vraiment).
2. L'appropriation
Ces différences identifiées, celles-ci ont besoin d'un territoire où elles peuvent s'exprimer sans être en conflit permanent avec la norme (rappelez-vous l'équilibre psychique à conserver).
On le sait, les mammifères ont tous besoin d'un territoire distinct, les animaux le démontrent tous les jours (ici, entre meutes de loups).
C'est pareil pour les communautés. https://earthlymission.com/gps-tracking-shows-how-much-wolf-packs-avoid-each-others-range/
Donc, l'immigré trouve une communauté pour consolider sa différence identitaire qui, au lieu de disparaître, devient de PLUS EN PLUS FORTE, et un élément fondamental de définition, d'identité de la personne en réaction par rapport à la majorité du pays.
Puisque les nouveaux arrivants sont à l'aise entre eux, l'identité collective de ce groupe peut s'épanouir et se distinguer de celle du groupe majoritaire.
Inutile que je vous fasse le dessin si cette histoire est nourrie de rancœur envers la majorité.
Celle-ci doit faire preuve de fermeté dans son récit identitaire pour pouvoir intégrer cette minorité.
Mais si les différences demeurent, cette intégration se fait de plus en plus difficilement.
Et les identités collectives se renforcent mutuellement chacune dans sa communauté.
3. La représentation
Parce que l'énergie cognitive est limitée, chacun se fait une idée plus ou moins précise de son propre groupe culturel, l'endogroupe, et se construit une idée schématique de l'autre groupe, l'exogroupe.
On idéalise son propre groupe, et on caricature le camp adverse.
La théorie de la distinction optimale appliquée aux groupes.
Cf Tom Gauld.
Ces stéréotypes et ces préjugés sont des raccourcis cognitifs permettant de traiter l'information plus rapidement afin de survivre.
D'ailleurs, ces stéréotypes ne sont pas si faux, quand ils sont bien compris, cf @PsychRabble. https://www.psychologytoday.com/intl/blog/rabble-rouser/201210/stereotype-inaccuracy
4. L'agrégation
Thomas Schelling démontre que dans une société parfaitement mixte, ce jeu du rassemblement entre-soi, tout à fait logique et commençant avec de très petites proportions, aboutit TOUJOURS à des ghettos, distingués selon les caractéristiques les plus marquantes.
Le célèbre papier de 1971 de Thomas Schelling, « Dynamic Models of Segregation » est ici : https://www.stat.berkeley.edu/~aldous/157/Papers/Schelling_Seg_Models.pdf
Et si vous avez l'esprit joueur, vous trouverez une petite simulation ici, on a toujours des ghettos à la fin : https://ncase.me/polygons/ 
5. La séparation
Progressivement, quand chaque communauté croît en taille, l'assimilation à la majorité se fait de moins en moins, les (vrais) mariages mixtes (interculturels et interethniques) chutent, le référentiel local change.

C'est le communautarisme.
C'est ce que constate froidement l'étude d'Advani en 2015 sur le sujet. https://www.ifs.org.uk/uploads/publications/wps/WP201530.pdf
Ainsi, « quand un groupe d'immigrés représente plus d'un tiers d'une communauté : l'acquisition de la langue chute de moitié, de 90% à 50%, et les mariages endogroupes augmentent d'un tiers, de 55 à 75%. (...) »
Page 4.
Et plus la distance culturelle est grande, plus le seuil estimé de ségrégation, de séparation d'avec la majorité, baisse.

Rien de très étonnant, donc.
Au début, la communauté étrangère cherche à s'assimiler, il y a peu de monde, il faut faire des efforts pour survivre, ils savent ce qu'ils ont quitté, et que ce qu'ils ont là est mieux.
Mais deux générations après, la communauté est devenue un écosystème complet, comportant toutes les nuances (du modéré/intégré au très, très extrémiste, en passant par le nouvel arrivant), le pays d'origine est fantasmé, celui d'accueil critiqué.
L'assimilation est variable.
Ainsi, selon cette étude, les secondes générations d'immigrés se sentent *MOINS* britanniques que les fraichement naturalisés (41% contre 70%).
https://www.opinium.com/black-history-month-patriotism-in-the-uk/
Les cultures étant distinctes, cela signifie que les informations tacites, non-dites, les codes culturels pour décrire la réalité et les comportements pour ajuster les foules ne sont plus les mêmes.

Bref, chacun vit selon sa propre coutume, il n'y a plus de référentiel commun.
Je vous renvoie à mon fil sur les identités, ce qui est visible et ce qui ne l'est pas. https://twitter.com/Polydamas/status/1333480325507391489
Aux marges de chaque culture se développent donc des conflits en pagaille, les fameuses micro-agressions.
6. La friction
Prenons l'exemple simple d'un croisement de piétons. S'ils ont la même culture, alors deux marcheurs arrivant face à face vont chacun choisir le même côté pour passer, la rencontre se fera rapidement.
Si la culture n'est pas la même, la probabilité de heurt est plus forte, chacun peut choisir une solution distincte de l'autre, mais qui mène au conflit.

Il y a conflit si les deux n'ont pas la même règle, peu importe les préjugés de chacun.
J'en ai parlé ici. ⬇️
C'est tiré de ce fil. https://twitter.com/Polydamas/status/1103621202629799936
On le constate avec cette vidéo, il suffit de 10s à peine pour que des autoroutes de piétons se forment, facilitant ainsi la circulation.
Les piétons ont tous ici la même culture, évidemment.
C'est un embryon de « convention sociale ».
Cette convention sociale, cette norme, peut être troublée par des gens différents ayant d'autres habitudes dans cette configuration, et ne souhaitant pas respecter cette norme locale, ce qui réduit drastiquement l'efficacité de cette foule.
On constate donc qu'une habitude individuelle peut devenir collective, pourvu qu'elle soit adoptée par tous, et que cela dépend de la culture locale.
Le tout pouvant être troublé par des gens en ayant une autre.
Ces conflits d'interprétation, ces mésententes sur le réel, ces « micro-agressions » deviennent nombreuses avec la démographie, l'arrivée toujours plus importante d'immigrés.
7. L'évitement
Les conflits augmentent, les gens craignent les interactions, et vont tenter de les éviter, ce qui fait augmenter l'indifférence individuelle.
Les gens ne veulent plus être menacés, le coût est trop important.
Plus il y a de différence, plus il y a de conflits, plus il y a des stratégies d'évitement, plus l'indifférence augmente.
Ce qu'a démontré Robert Putnam.

Ainsi, la société, initialement homogène, s'hétérogénéise, et devient de plus en plus indifférente. https://laviedesidees.fr/Robert-Putnam-et-la-nouvelle.html
8. La dynamique
Cette nouvelle communauté est divisée entre plusieurs courants : des modérés, un ventre mou, des extrémistes. Les modérés et extrémistes sont minoritaires mais luttent l'un contre l'autre pour obtenir l'assentiment de la majorité.
Leur part peut être très faible (5% à peine), mais s'ils remportent la lutte, la dirigent.
Une analogie est qu'une foule peut être emmenée par 5% de gens en faisant partie.
Ils mettent la main sur le ventre mou de leur communauté, et menacent directement de mort les modérés, qui n'osent plus agir, ne veulent pas risquer leur vie ou s'ils le font, sont perçus comme des traîtres à leur communauté.

C'est le phénomène d'intolérance des minorités.
L'intolérance des minorités ajoutée à l'uniformisation des processus entraîne comme conséquence que le plus indifférent au processus perd.

Et c'est ainsi qu'on se retrouve avec des abattoirs qui tuent la bête majoritairement selon des méthodes halal. (Source : un ami éleveur).
9. L'amalgame
Le dynamisme et la visibilité des extrémistes font qu'elle obtient la direction de cette communauté et que cette communauté leur devient assimilable, car ils en dirigent la dynamique.
Rappelons qu'un piéton devient indiscernable de la foule à laquelle il appartient au bout d'une certaine densité (Fouloscopie, Moussaïd, p.42, 2019).

C'est pareil avec les communautés (ça, c'est pour le #Padamalgam servi à toutes les sauces).
Quand une foule se déplace, il y a toujours des piétons à côté, qui partent dans des directions différentes, qui voient les choses différemment.

Sont ils capables de faire changer la foule de direction ?
Non.

Représentent-ils la foule ?
Non.
L'effet de groupe est il annulé car il y a des individualités qui n'en sont pas ?
Non.
Rappelez-vous de Zemmour : tout est moral chez les individus, tout est physique dans les foules.
Ou de Guilluy :

« Penser, c'est conceptualiser, conceptualiser, c'est schématiser, schématiser, c'est généraliser », généraliser permet la simplification, outil indispensable pour faire de la politique et calculer l'endroit où se rend CETTE FOULE.
Parler de la dynamique de foules ne signifie pas que des individus minoritaires appartenant a priori à cette foule ne puissent pas faire différemment, ça signifie que LES FOULES ONT DES DYNAMIQUES IDENTIFIABLES, peu importe ce que font les gens minoritaires y appartenant.
10. Le conformisme
L'expérience de Asch nous explique que si vous êtes entourés d'un groupe suffisamment motivé pour nier la vérité, vous avez plus de probabilité de pencher en faveur de ce groupe.
Cette expérience montre facilement comment des minorités déterminées trouvent des partisans dans cette communauté, juste par l'effet du nombre et du besoin communautaire de survie individuelle.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Asch
11. La placidité de la majorité
De son côté, le groupe majoritaire, le reste du pays vaque à ses occupations et ne s'inquiète pas de ces communautés grandissantes.
Il est tranquille.

Un peu trop même.
Il est TRÈS difficile à mettre en mouvement, même quand sa survie est en jeu, sans mise en tension préalable.
Ici, un incendie en salle de cinéma.
(Idem, p. 95)
Une fois mise sous tension, et en mouvement, elle peut se faire balader mais dès qu'elle constate que la direction choisie ne lui convient pas ou est menaçante, elle est capable d'en changer.
On le constate ici avec des poissons.
On constate l'efficacité du mantra : « Ce parti, c'est la guerre/les nazis/l'extermination. »

Pour empêcher les votes majoritaires d'aller dans la direction qui n'arrange pas l'élite, celle-ci a tout intérêt à montrer à la majorité qu'aller dans ce sens est un danger.
C'est d'ailleurs ce qui aurait dû se passer dans la communauté immigrée, les extrémistes auraient dû normalement être empêchés d'arriver à sa tête par le pays accueillant.
Sauf qu'évidemment, si la population majoritaire est accusée de racisme quand elle dit que ces extrémistes ne lui conviennent pas, ça ne va pas marcher.
12. L'incertitude : polarisation ou pacification ?
La communauté immigrée devient donc de plus en plus extrémiste car ses modérés ne sont pas capables de compenser et de lutter à armées égales avec ses extrémistes.
En parallèle, l'élite cherche à apaiser au maximum les relations conflictuelles entre les immigrés et la majorité pour éviter une réaction en chaîne, et fait pression sur la majorité pour éviter qu'elle ne riposte aux agressions dont la communauté fait preuve à son égard.
Si au contraire, l'élite du pays agit, elle peut régler le problème de la communauté envahissante, au prix de décisions fermes et de problèmes avec ses propres opposants qui eux, défendent ces immigrés.
Pendant ce temps, pour avoir la paix, la majorité laisse faire et abandonne des pans entiers de territoire communautarisés.
Ce faisant, la majorité dit tacitement à ces minorités qu'elles ont raison, que l’extrémisme paye, que la menace est un outil valable.
C'est ce que dit Popper, on peut accepter les « idées intolérantes », on NE peut PAS accepter les gens intolérants, usant de la menace ou de leur volonté de mourir pour empêcher le débat.

Le principe du débat lui-même doit être défendu.
Les minorités intolérantes font tout pour éviter le débat en utilisant leur force qui est le fait d'être prêt à mourir pour cela.
Pour camoufler cette violence, quoi de mieux que de renverser les choses et de se faire passer pour une victime terrorisée par la majorité ?
L'histoire est un cimetière d'élites, nous dit Pareto.

Ceux qui sont prêts à mourir pour leur cause FONT l'histoire, en imposant à la majorité leur volonté, peu importe leur côté.
On constate que le statut social a peu d'importance, si les étrangers sont aisés, ils se développent dans un pays qui n'est pas le leur, le résultat sera le même, c'est la colonisation, dont on sait comment elle a fini.

Et si le statut social est modeste, ça a le même effet.
13. Le développement
Cette communauté croit de deux façons :
- par une démographie plus forte que la population autochtone;
- par l'apport constant de nouveaux immigrés.
Rappelons la caractéristique de la fécondité des sociétés traditionnelles : si les mères des sociétés traditionnelles ont en moyenne plus de deux enfants par femme, leur communauté se multiplie rapidement, alors qu'en face, les modernes, avec moins de 2 enfants par femme (...)
ne renouvellent pas leur population et disparaissent.

Si une femme a eu deux enfants dans sa vie à 60 ans, sa descendance sera beaucoup moins nombreuse qu'une femme qui a 3 enfants, ainsi que ses enfants, à 30 ans passés.
En 60 ans, le couple occidental a 2 descendants, le couple traditionnel en a 12, soit 6 fois plus !

Inutile de dire qui remplace l'autre en l'échelle de quelques décennies à peine.
14. La vitalité
La jeunesse, du fait de son dynamisme, est naturellement plus remuante et violente que ses aînés, les sociétés plus jeunes sont plus guerrières et violentes que les sociétés mûres, Jack Goldstone l'a montré dans ses ouvrages.
Or, les gens traditionnels ont plus d'enfants que leur moyenne communautaire (ce n'est pas pour rien si toutes les religions sont hostiles à la contraception).
Au bout de deux générations, les extrémistes, dont les gens traditionnels sont généralement proches, ont de facto une proportion communautaire plus importante, ce qui s'en ressent politiquement.
Or, qu'est-ce qu'une guerre ? Une guerre est un processus social utilisant la violence pour imposer plus de vérité dans le modèle politique.

Ici, la force des identités différentes et de la jeunesse aboutissent à cette situation explosive.
Bilan d'étape :

L'immigration non intégrée nourrit les tensions sociales par la différence forte, différence défendue spatialement par une communauté et un récit qui légitime une identité distincte de la majorité du pays.
Cette identité est exacerbée par des extrémistes qui finissent par l'emporter dans la communauté, avant de s'attaquer à la majorité du pays, une fois celle-ci à portée grâce à leur dynamique démographique.
Comme on le voit, rien ne se fait au hasard, tout est parfaitement logique.
15. Le conflit
Je rappelle que Macron ET Hollande, le président de la République actuel et le précédent, ont tout deux évoqué des risques forts de guerre civile en France.
16. L'autoritarisme
Enfin, pour calmer ces tensions, mettre tout le monde d'accord, la majorité est contrainte de recourir à l'autoritarisme. Un autoritarisme léger au début, pour intégrer, c'est l'assimilation.
Puis à mesure que la communauté étrangère s'accroît, un autoritarisme de plus en plus musclé.
Ce qui a également été annoncé par les chercheurs. (Galor/Clemp, 2017). https://econpapers.repec.org/paper/cesceswps/_5f6427.htm
Par exemple, la politique des HLM, faite pour contre-balancer l'effet d'entre-soi, qui punit les maires s'ils ne respectent pas les obligations en quantité de logement social EST une forme d'autoritarisme.

Merci la loi SRU !!!
Ce faisant, on ne fait que mettre un couvercle sur la cocotte minute qui attend le moindre prétexte pour sauter.
Les solutions
Et donc, les solutions, au lieu de toujours intégrer des gens inintégrables sont de faire diminuer la pression en :
- coupant les flux d'immigration, nourrissant la communauté ;
- en changeant la communauté problématique de territoire.
C'est exactement ce qui a été réalisé au niveau local avec des immigrés répartis dans tous les HLM de France, mais la petite taille du territoire démontré l'inanité de cette démarche.

Cf ceci : est passé d'une rumeur des fachos à une réalité en 7 ans.
Il faut donc passer à la vitesse supérieure et demander à ces gens, qui ont conservé leur identité d'origine de revenir dans des pays plus cohérents avec eux-même, c'est la remigration.
Qu'elle soit incitée ou obligatoire, peu importe, mais il faut diminuer la pression du nombre pour calmer les choses et arrêter les frictions.
Voilà comment, en quelques expériences sociales, nous nous retrouvons dans la complexité actuelle.
Merci de m'avoir lu.
#FINDUFIL
You can follow @Polydamas.
Tip: mention @twtextapp on a Twitter thread with the keyword “unroll” to get a link to it.

Latest Threads Unrolled:

By continuing to use the site, you are consenting to the use of cookies as explained in our Cookie Policy to improve your experience.