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thread de personnages avec une personnalité similaire à des courants de pensées 
mon thread ira droit au but sinon ça va être trop long, j’ai pas le temp de faire les présentations à chaque fois puis ça vous ennuyer
- doflamingo
il a de manière « innée », toujours eu goût pour le pouvoir sur autrui. il cherche directement à profiter de ses privilèges même si ceux-ci atteignent les minorités, contrairement à son père qui lui renonce à ses privilèges pour l’égalité. fou de rage, il le tue de ses mains
il y revient par moment dans ses cauchemars, on parle alors du refoulement de Freud, doflamingo commet un acte tel qu’il en a abandonné toutes ses émotions au profit de ses objectifs , il refoule tant son enfance qu’il crée lui même la famille « Don Quichotte »
doflamingo perd alors toute notion de justice. la justice ne suit qu’une seule loi, celle du plus fort.
- askeladd
Baudelaire a bien montré combien nous pouvons nous sentir seuls au milieu des autres, de la foule : nous souffrons alors du sentiment d’être seuls, mais sans être isolés : c’est cela, l’esseulement.
enfant fruit de nombreux traumatismes, il ne trouva jamais la paix intérieure, pas même à son dernier souffle
- sasuke
Aristote dit que la vengeance est une chose juste, fondée sur ce principe qu'il faut rendre à chacun ce qui lui appartient.
Et c'est la seule façon que la nature nous ait donnée pour arrêter les mauvaises inclinations des autres.
Et c'est la seule façon que la nature nous ait donnée pour arrêter les mauvaises inclinations des autres.
cependant selon moi le rendu ne peut être l'œuvre que d'un tiers, impartial et lucide. la vengeance doit se traduire en punition, selon une loi.
si l’homme agit de son plein gré, il entrera dans l’excès et ne sera plus jamais libre mais enfermé par son désir de vengeance
si l’homme agit de son plein gré, il entrera dans l’excès et ne sera plus jamais libre mais enfermé par son désir de vengeance
enfin bon, ces choses abstraites sont facile à dire. forcés de constater que dans un contexte comme celui de Sasuke il est impossible d’attendre une loi, l’homme est une bête sauvage à l’origine
mon préféré, thorfinn
pour Descartes, devenir soi-même n'est pas un devoir, dans le sens où c'est quelque chose de naturel.
malgré ça, thorfinn se tue à changer sa nature, à changer « l’inné » à force de volonté
malgré ça, thorfinn se tue à changer sa nature, à changer « l’inné » à force de volonté
les stoïciens réfléchissent sur la notion d’être « soi » ou rejoindre le troupeau « on »
kant lui, dit que la naturalité de l’homme ne la rend pas légitime, l’idée de paix se « vise » mais ne s’atteint pas.
kant lui, dit que la naturalité de l’homme ne la rend pas légitime, l’idée de paix se « vise » mais ne s’atteint pas.
thorfinn veut, après avoir retrouvé une raison de vivre, créer « le vinland » une terre où la paix règnera, loin des guerres, loin de tout.
pour moi cela revient à rejeter la vraie nature de l’homme conflictuelle, on rejoint le refoulement de Freud
pour moi cela revient à rejeter la vraie nature de l’homme conflictuelle, on rejoint le refoulement de Freud
- le grand monsieur qu’est ryo fui
pour Simmel, l’argent est ce qui permet de donner une valeur objective aux objets. cependant, la valeur n'a pas d'objectivité en soi mais résulte de la subjectivité des désirs.
en synthèse : l'argent est le moyen absolu et le plus significatif des phénomènes de notre temps, dans la mesure où sa dynamique a envahi le sens de toute théorie et de toute pratique.
cette planche est majestueuse mais si je commence à en parler je vais finir demain mdr alors je la pose juste ici
- madara 
le projet de madara, déçu des hommes et de leurs natures, est de créer une illusion idéaliste, un rêve éternel dans lequel plongerait l’humanité entière et vivrait heureuse
madara est un personnage à la racine même de la philosophie. la philosophie oppose l'illusion à la réalité, et la distingue de l'erreur, du préjugé, de l'hallucination, la considérant comme un problème de la théorie de la connaissance.
l'illusion est dérivée des désirs humains ; elle s’apparente à l'idée délirante en psychiatrie. son projet était beau, mais allait à l’encontre de l’essence même de l’humain, la réalité. fuir la réalité revient à fuir la vie elle même.
petites planches synthétiques que j’aurais pu placer depuis tt a l’heure :
- Dio Brando
Nietzsche disait : « Vivre, c’est essentiellement dépouiller, blesser, dominer ce qui est étranger et faible, l’opprimer, lui imposer durement sa propre forme, l’englober, et au moins, au mieux l’exploiter ».
Dio cherche à transcender la race humaine, il ne se considère d’ailleurs plus comme un être humain. Il personnifie la force « innée » et cherche à vivre une vie où il s’appropriera ce qu’il voudra, comme un « maître » du monde.
son destin le fera malheureusement toujours perdre contre l’homme bon.
sa vision de devenir meilleur en écrasant les autres vient heurter la bonté innocente et naïve du protagoniste qui tirera sa force de ses bonnes intentions, un schéma bien classique
sa vision de devenir meilleur en écrasant les autres vient heurter la bonté innocente et naïve du protagoniste qui tirera sa force de ses bonnes intentions, un schéma bien classique
