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Si vous aimez les productions de Stuart Price (Confessions on a Dance Floor, Aphrodite, Future Nostalgia…) je ne peux que vous conseiller d’écouter l’excellente trilogie d’albums qu’il a produit pour les Pet Shop Boys entre 2013 et 2020 →
Si vous êtes plutôt EDM et techno, commencez par Electric (2013)
Si vous êtes plutôt dance-pop/Hi-NRG (et gay), commencez par Super (2016)
Si vous préférez un son synth-pop plus analogique et que vous êtes une queen mélancolique, commencez par Hotspot (2020)
Cette trilogie se veut comme une sorte de carte d’identité du duo. Trois albums comme trois définitions du son dance dans lequel les PSB excellent depuis 40 ans : tantôt électrique et survolté, tantôt populaire et enjoué, tantôt mélancolique et poétique mais toujours euphorique.
Les Pet Shop Boys, c‘est plus de 100 millions de disques vendus dans le monde, une œuvre riche et cohérente, des clips innovants, un univers graphique à la pointe. Chacun de leurs albums est une déclaration d’amour à la pop.
Ce sont les seuls artistes masculins avec Depeche Mode à figurer dans le top 10 Billboard des artistes les plus diffusés dans les clubs aux États-Unis depuis 1976 (à la cinquième place derrière Madonna, Janet, Rihanna et Beyoncé).
C’est un phénomène mondial et leur prochaine tournée célébrant leurs 40 ans de carrière fera le tour des arènes en Europe, sauf en France où leur succès a toujours été plus réservé que chez nos voisins européens. Du Zénith au Grand Rex à rien du tout cette fois. Tragique 
