Djeddah-terrorisme: "Le terroriste devait être bien renseigné car le cimetière non-musulman est un lieu très discret et peu connu, dans le quartier de Mina, près du port, habité, principalement, par des immigrés africains", confie un ancien diplomate français basé à Djeddah.

"Contrairement à ce que peut faire penser l’illustration, il ne dépend pas du Consulat général de France, même si celui ci en assure régulièrement l’entretien, sur base annuelle et en rotation avec d’autres pays occidentaux", ajoute notre source.

"Nous nous y rendions chaque 11 Nov, car 3 militaires français dont 1 officier sup y sont enterrés. Ils n’étaient pas morts sur le sol saoudien mais de maladie au large de Djeddah sur 1 navire de guerre français les rapatriant, après l’armistice, du front d’Afrique orientale".