𝗧𝗵𝗿𝗲𝗮𝗱 - 𝗟𝗲 𝗰𝗮𝗹𝘃𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗧𝗶𝗻𝗱𝗼𝘂𝗳.
#SahrawisLivesMatter
#SahrawisLivesMatter
Les enfants de Tindouf souffrent doublement. Ils continuent de subir les pires exactions de la part du système du polisario. Lequel a érigé la violation de l’enfance comme méthode de gouvernance.
Cette violence subit par ces pauvres enfants se traduit par des violations sexuelles - Pédophilie. Mais aussi l’esclavagisme #BlackLivesMatter
Ce sont les grands oubliés des organismes internationaux des droits de l’Homme.

Ce sont les grands oubliés des organismes internationaux des droits de l’Homme.
Chaque année, plus de 6 000 enfants sont deportes depuis les camps de tindouf vers cuba ou ils doivent suivirent un entraînement militaire sous l’ordre du polisario.
Ces enfants sont âgés de 8 à 10 ans. Ils sont dans un lieu d’exil qu’ils ne connaissent pas. Loin des parents,
Ces enfants sont âgés de 8 à 10 ans. Ils sont dans un lieu d’exil qu’ils ne connaissent pas. Loin des parents,
Privés de leur enfance, ces milliers d’enfants sahraouis enlevés en bas âge subissent divers sévices loin de l’amour des parents, et de leur terre. Il fois qu’ils sont à cuba ces enfants subissent des atrocités et notamment la pédophilie

Suite à ces déplacements, à Cuba. Ces enfants sont forcés de se prostituer. Ces actions qui bat son plein dans les rangs de ces enfants, de pédophilie qui fait partie de leur quotidien et d’esclavage qui est, à leur grand dam, monnaie courante.
De nombreuses militants sahrawis dénoncent les abus sexuels dont sont victimes les enfants.
«La plupart des enfants sahraouis sont violés dans les champs de Cuba», dénonce Najia Adib.
«La plupart des enfants sahraouis sont violés dans les champs de Cuba», dénonce Najia Adib.
Lors d’une conférence une militante Sahrawi qui se nomme Assa Zag dénonce les violation des droits de l’homme dans le camp de Tindouf.
Elle explique que l’avortement clandestin est courant dans les camps et concerne de jeunes filles mineures exploitées dans la prostitution.
Elle explique que l’avortement clandestin est courant dans les camps et concerne de jeunes filles mineures exploitées dans la prostitution.
Marie-Françoise Mirot, présidente du groupe «Petite fille» à l’UNESCO a rédigé un rapport sur la situation des enfants sahraouis déportés des camps de Tindouf. Qui parle de prospère et esclavages.
Le rapport de la présidente du groupe de l’Unesco crève l’abcès : touchés par des maladies sexuellement transmissibles, plusieurs filles et garçons sont décédés sans que leurs parents, désespérés dans les camps de Tindouf, n’aient aucune nouvelle les concernant.
Il existe plusieurs témoignages de ces enfants.
Je vais détailler celui de la jeune fille Soltana Bent Bilal qui a était une enfant-esclave. #BlackLivesMatter
Je vais détailler celui de la jeune fille Soltana Bent Bilal qui a était une enfant-esclave. #BlackLivesMatter

Arrachée à sa mère, Knana Saleck, à Zouérate, en Mauritanie, Soltana, alors encore enfant, est léguée comme esclave à une famille de notables blancs dans les camps du sud-est algérien, les Bardi. la petite Mauritanienne accomplit toutes les corvées domestiques...
Privée d’école et de ses droits les plus élémentaires, exploitée, battue, affamée, insultée, humiliée, Soltana, à la veille de son départ à l’été 2002 pour une colonie de vacances à Murcie, prie Dieu pour la délivrer de ses bourreaux.
Son souhait est exaucé par le destin. C’est lors d’un séjour, organisé par une ONG «l’Association espagnole des amis du peuple sahraoui», qui va lui permet de fuir son cauchemar.
Soltana tombera gravement malade du foie quelques jours avant la fin des vacances organisé par l’ONG. Rosa Maria Sanchez lui obtient la permission de demeurer en Espagne jusqu’à son rétablissement, enrageant la direction polisario qui veut à tout prix ramener la fillette
Dans les camps de Lahmada : «Je préférerais mourir ici plutôt que de retourner à Tindouf», confie Soltana à celle qui deviendra quelques mois plus tard sa mère adoptive.
Son histoire a provoqué un tollé d’indignation en Espagne, et continue à émouvoir le monde entier. Preuve en est le prix du Meilleur film documentaire lors du festival panafricain du film et des arts de Los Angeles, par «Stolen» (l’apartheid du désert)
Le reportage réalisé en mai 2007 par les journalistes australiens Violeta Ayala et Dan Fallshaw autour de l’esclavagisme subi par les Noirs dans les camps de Tindouf, et dans lequel figurait notamment Soltana.
Aujourd’hui des militants associatifs comment a dénoncer les pratiques esclavagiste et les violations sexuelles subit par ces jeunes enfants à Cuba. @UNICEF_FR
Malgré les appels de certaines organisations internationales pour mettre fin à la déportation collective des enfants, les dirigeants de l’algérie et du polisario font la sourde oreille. Ils savent qu’ils commettent en l’occurrence un crime contre des enfants innocents.
Fin.